Liste des séances du séminaire « Sciences, communication et société » (2004 – 2007)
21 janvier 2004Ce site a pour origine un séminaire co-organisé entre 2004 et 2007 par le laboratoire C2S0 (Communication, Culture et Société de École Normale Supérieure Lettres et Sciences Humaines) et le CRECI de l’Université de Paris 7. Ce séminaire était organisé par Baudouin Jurdant (CRECI, Université Paris 7), Joëlle Le Marec (C2S0, ENS-LSH), Igor Babou (C2S0, ENS-LSH), Pierre Mounier (C2S0, ENS-LSH) et Jean-Max Noyer (CRECI, Université Paris 7). Il correspondait à un programme de recherche soutenu par le Département Nouvelles technologies pour la Société, Ministère délégué à la Recherche.
Voici la liste de la plupart des séances de ce séminaire.
Les exemples du GLACS et de la « présentation de la science au public »
vendredi 21 janvier 2004, de 14h30 à 17h30, à l’Université de Paris 7 : salle 105, tour 24-34, UFR CCI).
La seance était consacrée à l’émergence de deux « lignées » de préoccupations concernant la relation sciences et société. La première naît des sciences « dures », principalement chez les physiciens, et elle structure une réflexion et un questionnement sur la diffusion des sciences au sein des communautés de chercheurs. La seconde naît de la prise en charge de questions de vulgarisation au sein des sciences humaines et sociales.
Intervenants :
Michel Crozon et Marie-Simone Detoeuf, membres fondateurs du Groupe de liaison pour l’action culturelle en sciences : présentation de l’histoire de cette aventure qui a duré plus de vingt ans.
Baudouin Jurdant, professeur à l’Université de Paris 7 : les débuts de la réflexion sur la « présentation de la science au public » à partir de son propre travail, du Colloque sur la présentation de la science au public organisé par le Conseil de l’Europe en 1972 et des Conférences-débats de l’AESF organisées par François Le Lionnais.
Sciences, médias, musées
Le 18 février 2005
Mise en perspective de courants de recherche portant sur les relations entre sciences et médias.
Intervenants-discutants : Igor Babou (ENS Lettres et Sciences humaines, C2So), Suzanne de Cheveigné (EHESS – Shadyc), Daniel Jacobi (Université d’Avignon, LCC), Yves Le Coadic (CNAM, ICST), Joëlle Le Marec (ENS Lettres et Sciences humaines, C2So), Marie-Sylvie Poli (Université Pierre Mendès France, CSRPC), et l’ensemble des participants au séminaire
Présentation :
Les recherches sur les relations entre sciences et médias peuvent paraître recouvrir des travaux très nombreux (dans certains contextes, on dit même qu’il y en aurait trop) et avoir produit des résulats bien diffusés et désormais banals. C’est cependant là une perception illusoire liée au caractère proliférant des discours d’opinion sur ce thème, que rien de distingue des énoncés fondés sur des recherches effectives. L’absence de science dans les médias, ou encore l’indifférence ou l’ignorance persistante des publics, sont par exemple rituellement dénoncés dans de multiples rapports et prises de positions publiques, et orientent parfois la décision et la gestion des politiques publiques aux plus hauts niveaux.
Or, les résultats de la recherche mettent en évidence des phénomènes très différents, parfois opposés. Un gros travail de mise en visibilité des recherches sur la vulgarisation, ses publics, et ses discours reste donc à faire.
Discutions des conditions dans lesquels certains de ces courants de recherche sont nés et se sont développés (Programme REMUS pour la recherche en muséologie des sciences), et présentation en contrepoint certains programmes très récents qui prolongent ou transforment des axes problématiques définis à l’époque (l’hypothèse du fonctionnement médiatique du musée à l’épreuve de la comparaison historique entre exposition et télévision). Discutions également sur l’articulation entre les analyses des productions médiatiques, et les recherches sur les publics et les phénomènes dits de réception, pour la télévision comme pour les expositions.
Communication scientifique en réseau
Conçues pour la plupart au sein des communautés scientifiques où elles ont été d’abord utilisées, les technologies de l’information et de la communication occupent une place importante et non neutre dans les processus de production et de circulation des savoirs, que ce soit au sein de communautés scientifiques constituées, qu’entre celles-ci et d’autres collectifs.
Cette séance tentait de répondre à un double questionnement :
quels sont les déplacements, réagencements, éventuellement hybridations que l’on peut constater au sein de pratiques construites au moins au niveau des représentations sur des complexes d’oppositions et délimitations structurant la communication scientifique : savant/profane, auteur/éditeur/lecteur, littérature grise/publiée, validé/non validé, oral/écrit, article/communication/monographie/série…
quelles sont les difficultés et innovations méthodologiques qu’implique l’analyse et la mesure de savoirs inscrits au sein d’objets électroniques en circulation
Intervenants-discutants :
matin : Cécile Méadel (ENSMP- Centre de sociologie de l’innovation ) Philippe Hert (Université de Provence/Aix-Marseille 1 – ENS LSH – C2SO) : interventions sur les listes de discussions comme lieu de production de savoirs savants et profanes.
après-midi : Jean-Max Noyer (Université Paris 7 – CRECI) ; Pierre Mounier (ENS Lettres et Sciences humaines – C2SO) : L’ édition électronique au cœur de la transformation des savoirs : problèmes et enjeux.
Confiance des publics et champ éditorial
Vendredi 22 avril à l’Université de Jussieu, Tour 24-34, 1er étage, salle 105, de 9h30 à 17h.
Confiance des publics, légitimité des discours médiatiques
Le champ éditorial dans les rapports entre sciences et société.
Matinée consacrée à l’articulation entre l’analyse des discours médiatiques à propos de sciences, et l’analyse de la parole des publics : enjeux de légitimation et relations de confiance. Ce choix répond à la demande de participants, formulée dans la discussion qui a suivi la séance « Sciences, Médias et Société ».
Après-midi consacrée à la manière dont le champ éditorial s’est saisi de la question des rapports entre sciences et société, avec d’une part une mise en perspective historique, et d’autre part un regard sur l’édition de vulgarisation pour la jeunesse aujourd’hui.
Intervenants-discutants :
Igor Babou (ENS Lettres et Sciences humaines – C2SO)
Sophie Banquart (sous réserve) (Editions Le Pommier)
Denise Grail (Département de la Communication de l’INRA)
Joëlle Le Marec (ENS Lettres et Sciences humaines – C2SO)
Jean-Marc Levy-Leblond (professeur au département de physique et philosophie, Université de Nice).
Sciences et engagement
Séance consacrée au rapport des sciences avec l’engagement, abordé sous deux angles différents.
En matinée, une approche « biographique » : Thierry Lefebvre, Maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’Université Paris 7 et membre du CRECI, sur la manière dont il articule son activité en tant que chercheur et son engagement aux côtés de différents mouvements sociaux.
En après-midi, l’écologie, qui, historiquement, articule de manière très singulière les deux dimensions. Jean-Paul Deléage, auteur d’Une Histoire de l’écologie, et André Micoud, directeur du CRESAL à l’Université de Saint-Etienne.
L’audiovisuel scientifique
A l’Université de Jussieu, Tour 24-34, 1er étage, salle 105, de 9h30 à 17h.
Il s’agissait d’explorer et de questionner à partir d’une diversité de points de vue, les relations entre des pratiques de recherche et des pratiques de réalisation et production audiovisuelle : production de films liée à des pratiques de recherche en sciences sociales, production audiovisuelle sur la science et recherche sur les images audiovisuelles à propos de science, création audiovisuelle à la rencontre de la recherche.
Intervenants :
Françoise Berdot (CCI, Université Paris 7) : Introduction à la séance.
Jean-François Ternay (Groupe d’Histoire et de Diffusion des Sciences d’Orsay (GHDSO) – ACI « Les représentations de l’embryon humain, de la fécondation à la naissance »). « L’imagerie scientifique, usage et circulation hors les murs du laboratoire : enjeux artistiques, financiers, idéologiques »
Laurent Maget (Pôle Image Animée, Institut des Sciences de l’Homme, Lyon). « L’audiovisuel dans les pratiques de recherche en sciences humaines et sociales : le regard inversé »
Harold Vasselin (Réalisateur et producteur indépendant, chef de projet de culture scientifique). « Ecriture et production cinématographique : « Comment Albert vit bouger les montagnes… », une étude de cas ».
Sciences, santé et société : perspectives interculturelles. Le cas de l’Amérique latine
Séance du 2 février 2007 – Ecole Normale Supérieure Lettres et Sciences humaines, Lyon.
Le champ des recherches sur les relations entre sciences et société est marqué par une focalisation de ses problématiques et de ses démarches empiriques sur les pays fortement industrialisés de l’hémisphère nord. Afin de contribuer à une réflexion plus interculturelle sur ces problèmes, l’équipe d’organisation du séminaire « Sciences, communication et société » a choisi d’inviter un chercheur argentin (Pablo Kreimer, sociologue des sciences) et une chercheuse française travaillant au Mexique (Karine Tinat, chercheuse en sciences de la communication) à présenter les cadres théoriques du champ « STS » (sciences, technologie et société ») en amérique latine, et des recherches empiriques issues de cette aire culturelle. Le thème « santé et société », qui sert de point nodal à leurs actuelles réflexions, permettra de donner une assise comparative à leurs présentations.
Programme :
9h00 – 9h45 : Pablo Kreimer (Conicet/Instituto de Estudios sobre la Ciencia y la Tecnología, Universidad Nacional de Quilmes, Buenos Aires) : « Les sciences sociales en Amérique latine : les études sociales des sciences et des technologies depuis les années 60 »
10h15 – 11h00 : Karine Tinat (Centro de Estudios Rurales, Colegio de Michoacán, Mexico) : « Les désordres alimentaires au Mexique. Le poids des interactions entre communication, société et santé ».
11h30 – 12h15 : Pablo Kreimer : « L’engagement de chercheurs des pays périphériques dans des réseaux internationaux. Tensions entre visibilité internationale et problèmes locaux : la maladie de Chagas en Amérique Latine ».
Quelles conditions techniques et juridiques de circulation des savoirs dans les réseaux numériques ?
Le développement des réseaux numériques, vécu par la plupart des acteurs de différents domaines comme un bouleversement majeur, est déclencheur d’un grand nombre de débats portants sur les conditions dans lesquelles la production et la circulation de biens informationnels peut s’effectuer. Deux dimensions sont explicitement identifiées comme étant essentielles dans ces débats. Les dimensions techniques et juridiques en sont très souvent l’objet. La question des droits de propriété intellectuelle et de leur application par l’intermédiaire de dispositifs de DRM eux-mêmes protégés par la loi constituent en effet le coeur d’une question ancienne qui se pose en termes nouveaux. Les récents débats relatifs à l’application en droit français de la directive EUCD touchent donc à des questions bien plus larges que le simple téléchargement illégal de musique comme ils sont souvent présentés.
Les communautés scientifiques et plus largement académiques jouent un rôle central et portent, de par la nature même de leur activité, une responsabilité particulière sur ces questions. Alors même que dans leur propre champ de production elles sont à l’origine d’initiatives visant à garantir le libre accès aux connaissances qu’elles produisent par la mise en place de dispositifs techniques qui leur sont propres (archives ouvertes), elles sont par ailleurs touchées dans leur capacité à accéder à des matériaux d’analyse soumis à droit de propriété intellectuelle, dans le droit qu’elles pourraient avoir de les utiliser dans un cadre d’enseignement ou de recherche (exception pédagogique et de recherche). Remontant à la racine des phénomènes, certains établissent un parallèle entre les cycles de production des biens culturels d’une part et des connaissances scientifiques de l’autre, tous deux basées sur la liberté d’accéder, de reprendre et de modifier, de faire circuler des savoirs en permanente transformation. Cherchant à protéger la vitalité de ces cycles, ils sont à l’origine de dispositifs techno-juridiques (licences libres et Creative Commons) qui trouvent leur application aussi bien dans le champ scientifique que plus généralement, pour toute activité de production culturelle.
La première partie de la journée était consacrée à la question des archives ouvertes, présentée par Françoise Thibault (Fondation Maison des Sciences de l’Homme, Paris), directrice du programme Tématice, et introduite par Jean-Max Noyer (CRICS-Paris 7), co-fondateur d’Archivesic.
La deuxième partie de la journée était consacrée à la mobilisation des communautés de chercheurs en réaction aux accords MEN/société d’ayants droits et autour du mouvement des licences Creative Commons, présentée par Jean-Baptiste Soufron (CERSA-Paris 2), conseiller juridique de la fondation Wikimedia et André Gunthert (EHESS), directeur du Laboratoire d’Histoire Visuelle Contemporaine (LHIVIC). Cette demi-journée était introduite par Pierre Mounier (C2SO-ENS LSH)
Collecte documentaire et site web « STS »
le 29 novembre 2005 à l’Ecole Normale Supérieure lettres et sciences humaines
Présentation du travail déjà réalisé et à une mise en discussion de la réflexion en cours pour le séminaire et le site :
Comment s’organise actuellement la collecte des documents, souvent peu accessibles, mais essentiels pour mettre en perspective les travaux actuels à partir de l’évolution du champ depuis son émergence dans differents contextes en France, et au plan international ? Comment l’orienter cette année ?
Quelles sont les propositions pour une articulation entre le séminaire et le site qui soit justifiée aux plans théorique, empirique, expérimental ?
Quelle réflexion est menée sur les outils disponibles actuellement pour rendre possible le partage et la circulation des bibliographies et des textes et commentaires ?
Environnement, questions socialement vives, développement durable : approches disciplinaires et modes d’implication
Le 31 janvier 2006 à l’Ecole Normale Supérieure lettres et sciences humaines
Elle traitait des croisements et confrontations entre approches disciplinaires (écologie, didactique, sciences de la communication) et entre modes d’implication (recherche académique, enjeux professionnels et engagements militants).
La séance était animée par Benoît Urgelli (C2SO-ENS-LSH, INRP)
Les intervenants étaient :
Jean-Paul Deléage (historien, écologiste)
Céline Pascual Espuny(CELSA)
Laurence Simonneaux (ENFA Toulouse)
Emmanuel Paris (Paris 13)
Benoît Urgelli (C2SO-ENS-LSH, INRP)
Sciences, journalisme : frontières et territoires
Le 14 mars 2006 à l’ENS LSh
La discussion sur au moins trois types de mise en relation ou confrontation : les sciences vues par le journalisme (médiatisation, rapport à l’expertise scientifique…), le journalisme vu par les sciences (réception des analyses universitaires dans le champ professionnel, etc.), et, enfin, le réel vu par les journalistes et les scientifiques (approches comparées, spécificités).
Intervenants :
Bertrand Labasse (CECP et Université Lyon 1 – modérateur)
Jean Marie Charon (Centre d’études des mouvements sociaux – EHESS)
Bernard Delforce (GERICO – Université Lille 3)
Jean Peneff (Université Aix-Marseille 1)
Baudouin Jurdant (CRICs, Université Paris 7)
Cette journée était organisée avec la participation du Pôle International pour la Recherche de Presse.
Engagements, déplacements et résistances dans les pratiques de recherche au quotidien
23 mai 2006 à l’ENS LSh
L’objectif général de la séance est de discuter du phénomène suivant :
Les pratiques du chercheur sont parfois en porte à faux avec les cadrages politiques et institutionnels de la recherche, et notamment la substitution des objectifs de construction de savoirs par des objectifs de compétitivité et de production d’innovations (nouveaux modes de financements, politiques d’axes prioritaires, alignement sur des modèles dits « anglo-saxons », nouveaux formalismes de soumission et d’évaluation des programmes).
De même, les situations des personnes qui sont impliquées dans des enquêtes et des opérations de recherche en tant qu’informateurs ou enquêtés, ou les communautés accueillant des chercheurs, peuvent devenir très difficiles. Elles peuvent s’impliquer par adhésion à la recherche vue comme instance dédiée à la construction de connaissances en toute liberté, sans toujours savoir que certaines opérations sont destinée à répondre à la demande de financeurs multiples ou accompagner la décision politique. C’est alors un pacte « science et société » qui est en danger.
Nous sommes nombreux à partager des constats critiques, mais il est plus rare de partager la réflexion qui peut en être tirée sur le plan des pratiques de recherche elles-mêmes.
C’est pourquoi nous avons souhaité organiser une séance qui dépasse de façon significative l’analyse des dysfonctionnements, pour décrire la manière dont les pratiques des chercheurs ou des informateurs associés à la recherche peuvent en elles-mêmes devenir résistantes à leur cadrage administratif.
Il s’agit de montrer que la dimension politique de la science est au sein même des pratiques.
Nous avons évité lors de la séance de discuter de l’engagement politique ou des positions militantes de chercheurs, pour nous concentrer sur des pratiques qui sont résistances du simple fait qu’elles obéissent à des principes scientifiques.
Intervenants :
Jean Pierre Berlan : Directeur de Recherche INRA
Guy Kastler, chargé de mission à Nature & Progrès, délégué général du Réseau Semences Paysannes.
Jean Polet : directeur de recherche, Archéologie, UMR 7041
Benoit Boutefeu : doctorant, géographie, ENS-LSH
François Briatte : étudiant, IEP Grenoble
La circulation médiatique des savoirs universitaires : les Amphis de la 5ème et Canal U
le 8.12.2006 à l’Université Denis Diderot – Paris 7
Programme
Matin : 9h30-12h30 (Anne Marie Bernon Gerth : modérateur)
Carmen Compte : Introduction et présentation succincte des deux dispositifs : les Amphis de la 5ème et Canal U
Bertrand Daugeron : une vieille question de méthode
Laurence Cattiaux : Les Amphis de la Cinquième
Alain Jaillet : Les usages de la chaîne « Colloques et Conférences »
Albert Claude Benhamou (à confirmer) : responsable UNT
Après midi : 14h30-17h (Anne Marie Bernon Gerth : modérateur)
Philippe Perrey : Production et création des Amphis de la Cinquième
Françoise Thibault : aspect institutionnel de l’émergence des deux dispositifs
Jean François Ternay : spécificité de l’audiovisuel dans l’apprentissage.
Baudoin Jurdant : Synthèse conclusive
- Quatrième séance : Sciences, journalisme : frontières et territoires
- Deuxième séance : « Environnement, questions socialement vives, développement durable » : approches disciplinaires et modes d’implication
Le rôle de l’implicite dans les communications scientifiques à l’intérieur des communautés scientifiques et vers l’extérieur
Le 10.01.2008 à l’Université Denis Diderot – Paris 7
Interventions : Baudouin Jurdant (Paris 7), Grégoire Molinatti (Marseille), Philippe Hert (Marseille), Eric Gallais (Paris 7), Joëlle Le Marec (ENS-LSH)
Interventions courtes destinées à encourager une discussion informelle approfondie entre les participants présents.